(Radio Canada) Prendre l’avion est peut-être le moyen de plus rapide de voyager, mais cela implique l’émission de grandes quantités de gaz à effet de serre (GES). Il existe cependant certaines options pour « verdir » quelque peu les déplacements dans les airs, à défaut de cesser carrément de voler.
Les inquiétudes face au bilan environnemental peu reluisant de l’industrie aérienne ne datent pas d’hier. Récemment, la militante environnementale Greta Thunberg annonçait qu’elle cesserait de prendre l’avion, se joignant ainsi, en compagnie d’autres personnalités, au mouvement « flygskam », soit « la honte de voler ». (Lire l’article)