Dimanche dernier, Open Jaw Québec était en transit à l’Aéroport Schiphol d’Amsterdam et a pu constater que de voyager avec ses anciennes habitudes confortables, sans se soucier outre-mesure des nouvelles règles de voyage, peut rendre le passage dans un aéroport inutilement stressant.
On ne sait pas si c’est de KLM ou de l’Aéroport d’Amsterdam que les nouvelles procédures aux passagers provenaient, mais ce qui est important de retenir, c’est qu’à notre arrivée à Amsterdam – où nous allions devoir écouler quelques heures d’attente – nous avons été informés, des écrans affichant les prochains départs des vols, que les passagers du prochain vol 671 de KLM à destination de Montréal devaient se rendre à la porte F2.
À la dite porte F2, il y avait ce comptoir comme tant d’autres, devant les grandes fenêtres donnant sur les avions. « À quoi bon se précipiter et rester ici? Nous avons 3 heures d’attente! Allons faire du magasinage… » se sont dits bon nombre d’entre nous.
On ne sait pas de qui, mais ce qui est important de retenir, c’est que certains d’entre nous ont appris plus tard de certains autres que la porte d’embarquement du vol 671 de KLM était finalement la E5.
C’est à celle-ci où tous et chacun avons abouti, quelques minutes avant le premier appel d’embarquement…
…et c’est à celle-ci aussi où tous et chacun avons appris que si nous n’avions pas été à la porte F2 au préalable afin d’obtenir l’estampe bleue sur notre carte d’embarquement, et bien il fallait le faire IMMÉDIATEMENT.
Contrôle des papiers
C’est que dans la foulée des nouvelles procédures de voyage mises en place, il y a celle en ce moment, à cet aéroport du moins, où les passagers doivent subir un contrôle des différents documents de voyage à une porte X pour ensuite se rendre à une porte Y pour prendre le vol.
« Pas d’estampe bleue, pas d’embarquement! » dixit le personnel de KLM
Dans cette histoire vécue, le facteur stressant, c’est que, comme dans tout grand aéroport international, la porte F2 n’est pas du tout à côté de la porte E5. Les passagers qui avaient donc passé outre la visite à la porte F2 ont dû s’y rendre rapidement afin de faire valider passeport, document officiel attestant un résultat négatif à un test PCR ET code QR attestant l’inscription obligatoire à ArriveCAN.
Si KLM communiquait comme Air Canada…
Ce qu’il y a également de « pas pratique » dans cette histoire, c’est que KLM, contrairement à Air Canada par exemple, n’envoie visiblement pas de message texte informant les directives en place pour les passagers sur le point de prendre un vol.
« J’avais même téléchargé l’application de KLM sur mon cellulaire, et même après nous informer avoir mis à jour les informations, le transporteur ne nous a jamais signalé cette procédure obligatoire de se rendre à la porte F2 » a confié un passager à Open Jaw Québec.
Inutile ici de faire le procès de KLM sur les informations distribuées par texto ou non. Retenons plutôt que pour éviter les situations stressantes, il faut seulement suivre attentivement les nouvelles règles.