Malgré le contexte actuel de l’inflation, 69 % des Québécois disent vouloir prendre des vacances au cours des prochains mois, selon une étude de CAA-Québec publiée par le Journal de Montréal
Que ce soit au Québec, aux États-Unis ou encore en Europe, les destinations sont variées et nombreuses.
La majorité des vacanciers comptent prendre la route pour se rendre à leur destination, soit près de 68 %.
D’autres privilégieront l’avion, soit 22 % des participants du sondage.
Les raisons des voyages se rapportent souvent au tourisme, à la visite de proches ou tout simplement au repos.
Avec ses paysages variés, le Québec reste une destination choisie par plus d’un Québécois sur deux (57 %).
Les États-Unis se glissent à la deuxième place avec 16 % des voyageurs qui choisissent cette destination.
Finalement, près d’un vacancier sur 10 traversera l’océan Atlantique pour découvrir l’Europe. La France, l’Espagne et l’Italie sont les trois pays les plus souvent mentionnés.
L’influence de l’inflation
Bien qu’elle n’empêche pas les Québécois de voyager, l’inflation joue un rôle dans la planification des vacances pour plus de la moitié des voyageurs (54 %).
Toujours selon le sondage, 29 % des vacanciers expliquent qu’ils se rendront moins loin que prévu.
Un Québécois sur trois (33 %) priorisera les activités gratuites ou à petits prix.
Finalement, 28 % d’entre eux affirment qu’ils voyageront moins souvent et qu’ils diminueront le nombre d’activités ou de divertissements.
Le contexte inflationniste n’empêchera pas les Québécois de garder leurs bonnes habitudes en ce qui concerne les assurances: 65 % d’entre eux sont assurés pour des soins médicaux, tandis que 45 % d’entre eux le sont en cas d’annulation et 40 % pour leurs bagages.