Le sur-tourisme qui se traduit par des effets indésirables dans certaines destinations, pousse maintenant des communautés à faire pression pour que soient stoppés net les projets de construction d’hôtels.
Envahissement de l’espace public, c’est là la description du contexte dans lequel vivent les populations qui habitent dans des joyaux qui attirent les touristes par millions.
Mais le touriste, celui qu’on a invité à venir faire du tourisme, en lui offrant des compagnies aériennes à bas prix, des aéroports qui l’accueillent, des hôtels qui l’appellent, des campagnes promotionnelles qui l’interpellent, est-il à blâmer?
L’hôte qui accueille le touriste, est-il l’artisan de sa propre perte?
Parce qu’il faut en parler, Open Jaw Québec vous invite à écouter l’entrevue réalisée sur les ondes du 98,5 sur le sujet. Voici le lien.
« Écoutez aussi l’expert en tourisme à l’UQAM, Paul Arseneault, souligner qu’au Québec, les autorités locales peuvent contrôler le tourisme en limitant les constructions hôtelières et la capacité aérienne et mentionne les défis similaires à Venise, Dubrovnik, Barcelone, de même que dans le Vieux-Québec et dans le Vieux-Montréal » présente la chaîne radiophonique.