L’insécurité monte d’un cran en Bolivie, l’armée intervient

(Tour Hebdo) Alors que le président Evo Morales a démissionné dimanche, les affrontements se multiplient dans tout le pays. Les voyages non essentiels doivent être reportés.

Après le Chili, la Bolivie. Suite à la réélection d’Evo Morales le 21 octobre dernier, le pays est en proie à une montée de violence, qui fait craindre pour la sécurité des voyageurs. Le Quai d’Orsay vient de publier une alerte sur son site « Conseils aux voyageurs », qui témoigne de la gravité de la situation : « Depuis la démission du président Evo Morales, la situation sécuritaire dans le pays est très instable. Des manifestations, parfois accompagnées d’affrontements, ont toujours lieu dans plusieurs villes du pays. Elles provoquent des blocages et des difficultés de circulation ».

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Pour protester contre la démission du président intervenue dimanche, des partisans d’Evo Morales ont causé de nombreux dégâts dans la capitale. D’autres groupes de Boliviens mécontents de cette démission ont commis des violences dans la région de Cochabamba, dans le centre du pays, et à El Alto, une ville proche de La Paz, où ils ont brûlé des postes de police, ont blessé des policiers et des civils et ont suscité la panique dans la population. (Lire l’article)

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