«Oui, les gens posent des questions, ils veulent être rassurés. On leur explique qu’il y a des mesures qui ont été prises pour s’assurer qu’ils ne soient pas exposés», assure Justin Bordeleau, vice-président de Voyages Arc-en-ciel, qui organise le salon.
M. Bordeleau précise par ailleurs que les inquiétudes du public au sujet du coronavirus n’ont pas eu d’impact sur les ventes de son agence de voyages, puisque la Chine n’est pas une destination privilégiée par les touristes québécois pendant l’hiver. «C’est plutôt une destination pour affaires. Il y a quelques années, beaucoup de gens voulaient aller en Chine, mais depuis, ça a beaucoup diminué», indique-t-il, en précisant également que les itinéraires des vols qui passent par l’Asie ont été modifiés pour réduire le risque de propagation du virus. (Lire l’article)