Rangée devant : Mylène Matteau et Marc-André Bourgie, propriétaires d’Accès Croisières et Voyages, Alain Dubuc (Maire de Beauharnois)
L’agence Accès Croisières et Voyages vient de défaire ses boîtes dans ses nouveaux locaux de Beauharnois. Et la nouveauté n’est pas que géographique : elle a repensé ses bureaux pour offrir un environnement de travail hybride à ses employés.
Membre du regroupement Voyages En Direct, l’agence Accès Croisières et Voyages annonce ainsi avoir choisi Beauharnois pour établir les nouveaux locaux de l’entreprise. C’est un retour au bercail :
« Les propriétaires de l’agence, étant originaires de l’endroit, il était naturel pour eux de s’établir dans cette ville en pleine expansion » souligne le communiqué.
« Après les deux années que nous venons de traverser, c’est un bel événement pour notre entreprise que de célébrer notre arrivée dans nos nouveaux locaux. Nous sommes très fiers aujourd’hui d’ouvrir un espace physique pour recevoir à nouveau nos clients régionaux », ont déclaré de concert Mylène Matteau et Marc-André Bourgie, les deux propriétaires de l’agence.
Repenser les bureaux pour le travail hybride
Spécialisée dans le créneau croisières, l’agence de voyage dit avoir repensé ses bureaux pour offrir un environnement de travail hybride à ses employés, « un mode de travail définitivement dans l’air du temps ».
« Ainsi, nous pourrons tripler le nombre d’employés dans les prochaines années tout en conservant ce nouveau local », précise Mylène Matteau.
Nouvelle division en projet : les groupes corporatifs
L’entreprise annonce également qu’elle entrevoit en effet l’avenir avec enthousiasme et a même de nouveaux projets, notamment avec une division pour les voyages de groupes corporatifs.
« Nous voulons également remercier particulièrement Mathieu St-Pierre d’Habitations Trigone pour sa présence et sa patience depuis le début de ce projet, l’équipe de Voyages en Direct qui croit en nous encore plus fort que nous-mêmes et à la Ville de Beauharnois qui a accueilli notre entreprise à bras ouvert », concluent Mylène Matteau et Marc-André Bourgie.
