Le ministre des Transports du Canada, Omar Alghabra, tiendra un « Sommet national » sur la reprise du secteur du transport aérien le 24 novembre 2022.
Le Sommet rassemblera des ministères et des organismes gouvernementaux, ainsi que des partenaires de l’industrie, dont des personnes qui représentent des aéroports et des transporteurs aériens, afin de discuter des « enjeux cruciaux auxquels est confronté le secteur de l’aviation et de l’avenir du secteur canadien du transport aérien ».
Selon le gouvernement, le Sommet sur la reprise du secteur du transport aérien sera l’occasion de réunir un large éventail de parties prenantes du secteur de l’aviation afin de discuter des défis, des stratégies et des prochaines étapes pour appuyer un secteur du transport aérien « solide et résilient ».
En favorisant des discussions ouvertes, le gouvernement du Canada souhaite recenser les façons d’atténuer les pressions exercées sur le secteur de l’aviation et encourager ses partenaires à trouver des solutions novatrices, peut-on lire dans un communiqué émis par Transports Canada.
Pour les personnes qui y participent, ce sera l’occasion de connaître les « priorités clés du gouvernement ».
« Le gouvernement du Canada est résolu à assurer une collaboration continue avec ses partenaires et à renforcer l’importance de la connectivité, peut-on lire dans le communiqué. Les discussions lors du Sommet porteront sur ce qui doit être fait, collectivement et individuellement, afin de bâtir un secteur du transport aérien plus résilient et plus fiable pour l’avenir. »
« La pandémie de COVID-19 a mis en évidence le rôle important que joue le secteur du transport aérien du Canada dans l’économie de notre pays et dans la vie de la population canadienne d’un océan à l’autre, a déclaré le ministre Alghabra. Il est important de se réunir avec nos partenaires pour discuter des progrès que nous avons réalisés ainsi que des défis qui restent à relever. En parlant des leçons apprises et des stratégies pour la résilience future, nous sommes convaincus que nous obtiendrons un secteur de l’aviation qui est beaucoup plus fort et capable de surmonter plus facilement les perturbations à l’avenir. »