Dossier. Votre client a tellement d’argent qu’il s’en fout de prendre le risque de ne pas avoir d’assurance voyage, quitte à devoir payer une facture de 150 000$ pour une évacuation aérienne d’urgence. « Ok », dit Manuvie. « Mais comment il va gérer ça? »
Pour bien mesurer de quoi il en retourne, voici un cas de figure présenté par Manuvie :
À destination, l’épouse de monsieur se retrouve subitement à l’hôpital, et soudain, on annonce un besoin urgent d’une évacuation aérienne.
C’est la panique.
Monsieur n’a pas d’assurance voyage qui couvre, mais surtout qui gère un rapatriement ou une évacuation d’urgence.
« Il appelle qui le monsieur? Où? Comment il démarre le processus? Il doit enclencher une évacuation de madame mais pour l’amener où? Par qui? Comment? Qui va gérer la logistique? » questionne en rafale Patrick Brousseau, directeur de compte chez Manuvie, pour illustrer la suite des choses d’une situation indésirable qui peut se produire dans un pays étranger.
Comment ça marche alors…
« Une bonne compagnie d’assurance a des ententes avec des experts dans ce domaine, qui gèrent des situations du genre tous les jours. Et même pour eux, c’est parfois un cauchemar logistique! Alors imaginez un voyageur, même s’il est millionnaire, qui doit tout organiser! » appelle à la réflexion Monsieur Brousseau.
La cueillette de ces informations a été rendue possible grâce à la participation d’Open Jaw Québec au Sommet de l’ACTA 2023 et au Congrès Atrium 2023.