AC reçoit une note parfaite pour son traitement de la crise 737 MAX

Un analyste boursier lève son chapeau à AC pour son traitement de la crise 737 MAX, citant que les pax ont connu peu de perturbations grâce aux tactiques impressionnantes entreprises par la direction.

Un analyste du marché boursier a félicité Air Canada pour son traitement de la crise 737 MAX, puisque les pax ont connu peu de perturbations grâce aux « tactiques impressionnantes des gestionnaires », depuis le clouage au sol de 393 appareils à l’échelle mondiale.

La flotte d’AC comprend 24 appareils MAX opérationnels depuis 2017, mais grâce à sa flotte de 190 avions et de 87 commandés, la ligne aérienne est bien équipée pour faire face à une telle épreuve.

La valeur des parts d’AC a chuté suivant l’écrasement d’Ethiopian Airline le 10 mars, mais les actionnaires qui ont maintenu leurs positions ont connu une croissance depuis.

Air Canada, qui a retiré tous les 737 MAX 8 de son horaire jusqu’au 1er juillet 2019, prévoit d’assurer 98% des vols prévus en substituant les MAX 8 par d’autres appareils et ses clients ont ressenti très peu d’effets sur le service grâce aux tactiques entreprises par la direction.  

Toutes les informations pertinentes aux voyages sont disponibles sur l’application d’Air Canada, ce qui renforce la confiance des clients malgré le clouage au sol des appareils.

Afin d’améliorer l’opinion publique, Boeing offre une transparence sur les mises à jour des travaux réparatoires.

Boeing a publié ce qu’elle croit être la cause des écrasements, citant le logiciel MCAS qui a fait piquer du nez les avions. Le DG de Boeing, Dennis Muilenburg, a expliqué par vidéo que le service commercial des appareils reprendrait car les pilotes d’essai ont complété 120 vols tests avec le nouveau MCAS.

Source: TheMotleyFool

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Arianne a eu l'occasion de parcourir l'Europe avec sa famille, avant même d'apprendre à écrire. À ce jour, sa passion du voyage est bien ancrée et la pousse vers l'aventure. Elle termine présentement un diplôme en communication à l'Université de Montréal, ville qu'elle habite depuis une décennie.