Le gouvernement fédéral a choisi trois consortiums pour soumettre des propositions concernant le futur train à grande fréquence (TGF) entre Québec et Toronto.
Parmi ces consortiums, on retrouve CDPQ Infra, qui est également impliqué dans le Réseau express métropolitain (REM).
Selon un article du journal Le Devoir, les consortiums devront proposer des trains pouvant rouler à une vitesse allant jusqu’à 200 km/h, mais pourront également élaborer une seconde proposition avec des temps de trajet plus courts et des vitesses plus élevées.
Le projet vise à relier plusieurs villes entre Québec et Toronto, avec des arrêts à Trois-Rivières, Montréal, Laval, Ottawa et Peterborough.
Le coût du projet n’a pas encore été déterminé, mais il est considéré comme le plus important projet d’infrastructure de l’histoire canadienne.
Concernant le contenu canadien, Ottawa ne posera pas d’exigences minimales, mais le gouvernement souhaite favoriser les partenaires canadiens.
En raison du climat canadien, le défi de mettre en place un train à grande vitesse sera complexe et coûteux, mais réalisable avec une approche adaptée.
