L’absence de concurrence dans le transport aérien régional au Québec a deux conséquences : les prix des billets sont élevés et les horaires et fréquences des vols « ont de quoi décourager n’importe quel utilisateur », a confié Robert Laplante, directeur général de l’Institut de recherche en économie contemporaine, au Journal de Montréal.
« Les Québécois paient, en moyenne, 180 % plus cher que les Ontariens pour les vols intérieurs. »
« Il faut faire entrer de nouveaux joueurs. (…) Le gouvernement ne peut pas continuer à dépenser des sommes importantes pour encourager l’établissement d’entreprises en région, en même temps qu’il les prive d’une desserte aérienne de qualité », a ajouté Monsieur Laplante.
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