(La Presse) L’ouverture, hier à Montréal, de la 40e assemblée générale de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) a mis en relief deux visions complètement opposées de ce que devrait être l’avenir de l’industrie aéronautique en matière environnementale.
Alors que d’un côté, l’Association internationale du transport aérien (IATA), qui représente les transporteurs aériens, implorait les pays membres de l’OACI de ne pas imposer de mesures de tarification additionnelles, un regroupement d’environnementalistes déplorait la « salade » que représente le programme que s’est imposé l’industrie. (Lire l’article)
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